C. Bryce Johansson
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 | Sujet: Allyssa Cullen  Lun 23 Mar - 14:28 | |
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*VOTRE PERSONNAGE*[/size] NOM : Cullen PRENOM : Allyssa AGE : 19 SEXE : F GROUPE : Les Pas Nets CODES :[1 && 2] Ok par Peyton S.AVATAR : Ashley Greene CARACTERE [2 lignes complètes minumun] :« Je n’ai jamais été quelqu’un qui se laisse marcher sur les pieds. J’ai un caractère difficile, indomptable, imprévisible et je le sais parfaitement. Dire que je vis ma vie à cent à l’heure serait faux. Je ne suis pas capable d’endurer une telle vitesse. Mais si j’en avait l’occasion, je le ferait très certainement. Mon manque de contact et de sociabilité envers les autres ne m’ont pas vraiment aidé. Au contraire, j’aurais aimé découvrir l’amitié, la jalousie, la jovialité plus tôt pour ne pas me sentir déstabiliser. Quant à l’amour, voilà un mot qui m’a toujours beaucoup effrayé. Je n’avais pas d’expérience si ce n’est-ce que j’en avais lu dans les romans à l’eau de rose de ma mère. Donc je préférais me dire qu’il m’était trop dangereux de m’aventurer sur des pentes aussi glissantes que celle-ci. Rancunière, un tantinet fleur bleue parfois, je ne vois en moi que les défauts et non les qualités. Peut être qu’après tout, je n’en ait pas. Mais d’après ce que j’ai put voir, même le plus mauvais des bougres en aurait. Alors pourquoi serait - je une exception ? Je ne suis pas le genre lunatique. Naïve ? Oui, sans aucun doutes. Je ne peut m’empêcher de m’émerveiller comme une enfant incrédule devant n’importe quoi. Il est rare que je ne sois pas partante pour quelque chose. Sauf lorsque que je sais que ma raison me l’interdis. J’ai beau avoir une santé relativement fragile, je ne me laisserai pour autant jamais marcher sur les pieds. C’est un fait : Je suis difficile à suivre. Mes réactions sont aussi indéchiffrables que ma personnalité elle-même. Mais qu’Est-ce que j’y peux exactement ? - Rien du tout. » HISTOIRE [4 lignes complètes minimun] :« 20 Décembre 1990 »
___ • Techniquement parlant, je serais incapable de vous décrire ce que j’ai ressentit la première fois que j’ai ouvert les yeux sur ce monde que je ne tarderai pas à mépriser. En effet, quel nourrisson de quelque minutes peut prétendre, lorsqu’il a grandit, se souvenir de cet instant ? Très franchement, ce serait prétentieux. Et totalement impensable. Mais passons. Je suis donc née un vingt décembre. Et oui, quatre jours avant Noël. Et croyez moi, ce n’était pas prévu au programme. D’après ma mère, j’avais décidé de pointer le bout de mon nez au moment le moins opportun, un peu plus d’un mois avant la date prévue. Comme vous avez pu le constater, dès mes premières minutes, j’étais déjà un élément perturbateur pour la vie de la famille Wilson. Mes parents n’ayant pas encore réussi à se mettre d’accord pour le prénom, on opta pour quelque chose qui faisait office de milieu. Ma génitrice voulant me nommé Elizabeth et mon père Beth, ce fut un petit diminutif qui satisfaisait tout le monde. Ce qui donnait le plus ou moins beau résultat de « Lisbeth ». Ma foie, sur le moment, à part hurler pour protester, je n’étais pas consciente de grand-chose. Dire que j’étais une complication n’était pas la stricte vérité. Il s’agissait plutôt du sentiment que j’en avais. Quoiqu’il en soit, personne n’avait forcé mes parents à avoir un autre enfant. Ils auraient probablement voulut un garçon, pour la diversité. Mais bon … L’ironie du sort avait fait que j’étais une fille. Capricorne qui plus est. Autrement dit, avec un caractère … De chien.
« 20 Décembre 1995 »
___ • Mon cinquième anniversaire. Le plus lugubre si l’on prend en considération le fait que je l’ai passé à l’hôpital. Je méprisais cet endroit trop propre, trop astiqué, qui du haut de mes cinq ans, me donnait déjà la chair de poule. Je n’étais pas une petite fille très robuste. Et mes parents finirent pas s’étonner de mon étrange capacité à choper tous les virus qui pouvaient se trouver autour de moi. Mais pour autant, j’étais d’une grande vivacité d’esprit. Intenable parfois. Rester en place deux minutes sans gesticuler en tout sens m’étais impossible. J’étais active. Bien que cardiaque. Mon cœur était en effet trop vieux pour ma petite jeunesse. Cinq ans, santé d’une dame de soixante dix. Voilà ce qu’elle avait entendu son père protester un soir auprès de sa mère qui sirotait son infusion tranquillement installée dans son fauteuil près de la cheminée. Sur le coup, elle n’avait pas eut notion de la réalité. Mais voir ses forces diminuer alors qu’elle ne demandait qu’à s’épanouir devint difficile. Insoutenable pour un esprit vagabond comme le sien.
« 20 Décembre 2003 »
___ • Je fêtais en ce jour mon treizième anniversaire. Et oui, treize printemps. Il m’était devenu incroyable de voir à quel point le temps passait lentement. Comme si les grains du sablier des heures mettaient des décennies entières à tomber. Ma vivacité qui me caractérisait il y a plusieurs années de cela avait laissé place à un calme parfois trop pesant qui me donnait parfois envie de crier ou de hurler comme une folle. Mais je n’en fit jamais rien. Ma santé était mauvaise. J’étais devenue blafarde, impotente, passant mes journées à effectuer des activités qui ne nécessitaient aucuns efforts physique. Mes parents commencèrent par m’enseigner la musique. Le piano plus exactement. Mais cet apprentissage, même si je commençait à apprécier le son des mélodies que j’étais capable d’effectuer avec mes deux mains fébriles, fut de courte durée. Les cours devenant trop cher, le foyer devant compenser les frais de traitement, mes parents vendirent mon instrument à une vente aux enchères histoire d’arrondir les fins de mois. Ma mère se rendant compte de mon ennui perpétuel qui était dut au fait que je ne suivais que des cours par correspondance, elle commença à m’éveiller au gout du dessin et de la peinture. La toile, un simple crayon finit bientôt par compenser se manque de sociabilité qui me tenait. Et rapidement, je finissais par oublier mon ennui et mon mal être au profit des dessins que je parvenais à réaliser.
« 13 Février 2006 »
___ • C’est en me levant ce matin frileux que ma vie prit une tournure totalement différente. Enfin. J’avais espérer ce moment depuis si longtemps. Ce moment ou peut être, je pourrais revivre. En effet, ce matin là, aux alentours de trois heures du matin, la sonnerie du téléphone retentit. Il s’agissait de mon médecin traitant. Ou quotidien. J’étais en haut de la liste. Un cœur était disponible. Je pourrais commencer à vivre presque comme je l’avais imaginer. Lorsque je m’éveillait après l’opération qui avait durée plus de quatre heures, j’eut l’impression de ne jamais m’être sentie aussi mal. Mais pourtant, quelque chose me maintenait en éveil. Je refusais de m’endormir malgré la dose immense de calmants que l’on m’avait administré. J’avais peur. Oui peur. Peur de ne jamais me réveiller.
« 20 Décembre 2008 »
___ • Ah … L’âge de liberté. Voilà dix huit ans que je vivais dans une bulle, désormais, je pouvais ouvrir les yeux et faire ce dont j’avais envie. Certes, je n’avais pas une forme olympique. Les efforts de longues durées m’étaient interdits. Et j’avais gardé une trace très visible de mon opération. Mais quelle importance comparé au fait que je pouvais désormais voyager ? Aller ou bon me semblait. Ce fut une des raisons qui me poussa à quitter Phoenix pour venir m’installer à New York. Continuer mes études d’art. En savoir plus sur la photographie. Et peut être recommencer la musique. Bref - Mes ambitions dépassaient mon entente ment. ET je trouvais ça bien ainsi. J’avais passé le plus clair de mon existence à rêvasser. Il était temps maintenant d’avancer.
PHISYQUE [2 lignes complètes minimun] :
« Mon physique. Voilà une chose que je déteste décrire. Ne me voyant que des défauts, il m‘est assez difficile d‘être objective sur mon apparence. Je ne suis pas très grande, ou plutôt … Je suis petite. En effet, je me suis souvent fait la réflexion que la plupart de mes connaissances me dépassaient d‘une tête au minimum. Je suis assez svelte. Un hasard sans doute. Je dois faire partie de ses gens qui mangent tout le temps et qui ne prennent pas un gramme. Au moins un avantage étant donné que la gourmandise est l‘un de mes principaux traits de caractère. Je suis brune, mes cheveux me tombant sous les épaules avec de légères ondulations. Tout comme ma génitrice, mes yeux sont un vert tantôt pale, tantôt foncé. Mon style vestimentaire ne ferait pas tomber les briques. Je suis assez … Simple. Disons qu‘un jean, une paire de Converses et une chemise large me va parfaitement. Pas de marque à vous en faire exploser le budget. Qui plus est, je déteste faire du shopping. Un autre avantage … Surtout pour ma carte bancaire x) »
*VOS PREFERENCES*
CHIEN ou CHAT ?? chat
CITRON OU PISTACHE ?? pistache
JAUNE OU VERT ?? vert
BLEU, VERT, GRIS OU MARRONS ?? [Les yeux]verts
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Localisation : La question ne se pose meme pas ! Avec Brooke bien sur =)
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| | Sujet: Re: Allyssa Cullen Lun 23 Mar - 14:50 | |
| Bienvenue et tres belle présentation & tu est bien sur validée !! | |
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